Petit village de 260 habitants avec une belle halte fluviale avec des tables de pique-nique, une table de ping-pong, un terrain de football et un boulodrome. Le seul commerce du village est une boulangerie / épicerie pour les principaux produits.
Accès rapide au chemin de halage du canal de la Meuse pour des balades à pied ou à vélo.
– Paysages – d’Ambly sur Meuse
Venez passer un moment agréable à Ambly sur Meuse, petit village rural où il fait bon vivre. Vous y découvrirez le « petit bois » qui est un coin tranquille avec une jolie petite rivière où l’on peut entendre le joli chant des oiseaux.
Paysages d’Ambly-sur-Meuse et ses richesses
Découvrez les paysages d’Ambly-sur-Meuse le temps de vos vacances dans la Meuse. Que vous soyez plutôt vacances actives ou vacances farnientes, vous trouverez votre bonheur dans notre village qui s’offre à vous pour le week-end ou pour votre séjour de vacances !
Paysages du fleuve Meuse à Ambly-sur-Meuse
Ambly sur Meuse est aussi un village dynamique où de nombreuses personnes se sont succédé dans l’association du village afin de divertir et de regrouper la population locale autour de manifestations diverses afin que tout le monde puisse se retrouver dans la joie et la bonne humeur.
Paysages entre terre et Meuse
Vous y découvrirez également sa halte fluviale qui a été aménagée pour permettre aux plaisanciers d’accoster dans un cadre agréable et paisible. Laissez vous guider au fil de l’eau sur le canal de la Meuse et découvrez la richesse du patrimoine local, la faune, la flore, …
Paysages de la halte fluviale
Histoire d’Ambly sur Meuse :
Ambly-sur-Meuse est un petit village, de moins de 300 habitants, à 18 km au sud-est de Verdun, en Meuse. Louis Emond y voit le jour, le 29 août 1773, de François et de Jeanne George, dans une famille de paysans.
Louis ne suit pas la voie de ses parents et s’engage, le 28 août 1791, dans le bataillon de la Meuse. Il est caporal, le 20 avril 1793, à la 71ème ½ brigade de ligne, régiment qui va intégrer la 92ème ½ brigade, où on le retrouve sergent-major, le 30avril 1795. Ce régiment devient le 92ème régiment de ligne, Louis est alors sous-lieutenant en septembre 1799, lieutenant en mars 1804, puis capitaine-adjudant-major en avril 1807. Il prend rang de chef de bataillon, le 7 septembre 1811, au 5ème régiment de tirailleurs de la Garde impériale.
Louis Emond est blessé de plusieurs coups de fusil, à la jambe gauche près de Cassano en Italie le 5 novembre 1799, au pied droit à Sacile en Italie le 16 avril 1809 et au bras droit à Wagram le 6 juillet 1809, deuxième jour de la bataille.
Pour toutes ses campagnes continelles à partir de 1792 et sa bravoure au combat, le chef de bataillon Emond est nommé chevalier de l’Ordre royal de la Légion d’honneur, le 17 juillet 1809.
Lors la campagne de Russie, il est fait prisonnier de guerre, le 10 décembre 1812 et les russes ne le libèrent que, le 27 octobre 1814. La fin de l’Empire est proche et la carrière de Louis aussi. Il prend sa retraite dans son village natal, dont il sera maire et décède, célibataire, le 23 mars 1844, laissant ses biens à Christienne George, veuve de son frère Simon.